mercredi 26 janvier 2011

Sex In The Cube - Les Olympiques Du Sexe

Cet été, en même temps que se déroulent les jeux Olympiques de Pékin, on peut observer partout ailleurs les Olympiques du sexe. Bien moins connues, bien plus sportives et de fréquence annuelle (c’est en été que les gens font le plus l’amour), elles sont l’objet de l’article de Sex in the Cube de ce mois-ci.
Voyons un peu les épreuves auxquelles les athlètes devront s’affronter cette année :


Water Polo

Pratiqué à l’origine en Rome antique, le Water Polo oppose deux équipes qui doivent tirer au but en 30 secondes maximum (sinon la balle va à l’autre camp). Le jeu dure 4 fois 8 minutes avec des pauses de 2 minutes.
Version sexe : similaire, se joue à deux ou plus (nombre pair), homme-femme ou homme-homme. Le but et de tirer son coup en 1 minute maximum sous l’eau. Les équipes disposent de 4 fois 8 minutes pour tenter de marquer un maximum de points.
n.b. le port du bonnet de bain est obligatoire, en revanche le maillot ne l’est pas, pour faciliter le marquage de points.
Seul hic : un peu décevant pour celles qui ont besoin de temps pour prendre leur pied.
Pour rappel, la médaille d’or 2001 est revenue à Loana et Jean-Edouard ; en 2008 Lindsay et Williams (île de la tentation) ont déjà pris de l’avance…

           
Course d’endurance

L’objectif de l’épreuve d’endurance est de faire l’amour aussi longtemps que possible. Le record du monde est aujourd’hui à 22h08, avec le plus long baiser à 31h30.
Cette épreuve peut se pratiquer plus ou moins n’importe où, et le nombre de partenaires ou leur sexe ne sont pas définis. En temps de forte chaleur l’auteur préconise une chambre climatisée pour éviter une perte d’eau excessive par transpiration.
Seul hic : cette épreuve n’est pas envisageable pour  ceux qui souffrent d’éjaculation précoce (un « défaut pardonnable » selon Judith Godrèche – on peut d’ailleurs se poser des questions sur la capacité de Danyboon ou Maurice Barthélémy des Robins des Bois à tenir la distance).


Lutte gréco-romaine

La lutte gréco-romaine est une forme de combat où l’on ne se sert que du haut du corps pour mettre son adversaire au tapis. Cette épreuve était le point culminant des J.O. de la Grèce antique.
Version sexe : similaire, se joue à deux, homme-femme ou homme-homme/femme-femme. L’objectif est de ne pas porter de coups sous la ceinture et de mettre l’autre au tapis au plus vite. Les guilis sont interdits.
Seul hic : sert de préliminaire, il faut enchaîner avec un autre sport derrière, tel la lutte libre ou l’on peut utiliser tout son corps pour plaquer l’autre à terre. Sport intéressant pour ceux qui aiment dominer/ se faire dominer.
Pour info, les pays où les femmes sont les plus fortes en lutte sont : la Chine, Japon, Russie, Biélorussie, Etats-Unis et Allemagne. Ce sport existe (pour les femmes) depuis les années 1980.


Equitation

L’équitation ne se pratique pas tant comme une série d’obstacles à passer qu’une position sexuelle qui consiste à « chevaucher » son adversaire (inutile d’en dire plus). Trois rythmes se font concurrence : le pas, le trot (un peu agité), et enfin le galop.  Ce sport est recommandé pour celles qui souhaitent se débarrasser de leur culotte de cheval.
Variante : il est possible pour les sportifs de rajouter des obstacles, comme des meubles dans la maison par lesquels il faudrait passer avant d’arriver à la fin de la course.



Trampoline

Nous passons enfin au trampoline, sport olympique impressionnant et très amusant pour tous. L’objectif du trampoline dans la version sexe des jeux olympiques et de faire des figures acrobatiques de nature sexuelle sur un trampoline. (un exemple pour illustrer : « oral sex » dans les airs). Cette épreuve se fait à deux et le but de la compétition est de faire un maximum de figures en un minimum de rebonds.
Seul hic : peut être peu pratique pour ceux qui manquent de souplesse ou qui souffrent de vertiges.

Il existe bien entendu une foultitude d’autres épreuves pratiquées par les particuliers en cette période estivale et dont nous ne connaîtrons peut-être jamais la nature, à moins d’y participer nous-mêmes. N’oublions pas que l’important n’étant pas de gagner, il peut être divertissant de s’essayer à ces sports – après tout, au travers d’eux on peut prendre du plaisir et garder la forme !

A.D. – CC14 « L’Olympisme» - Juillet & Août 2008

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