En termes d’âge justement, y a-t-il des règles en amour ? Une lourde antithèse vient de tomber. Bien sur que non me répondrez vous en cœur ! Tout de même, on notera que généralement, l’homme reste l’aîné de 8 saisons, pour rester dans les généralités, il paraitrait même que l’on augmente les chances de survie du couple en passant la barre des sept ans de différence. Calcul qui a peut être le mérite d’être fait quand on sait que 2 mariages sur 3 sont voués à l’échec en région parisienne ! (Provinciaux, les stats sont à venir !).
Pourquoi cette large majorité d’écart de 2 ans ? Désolée messieurs vous allez encore en prendre pour votre grade : le fameux décalage de maturité ! J’avoue c’est injuste de vous balancer cet à argument à froid, je vais donc vous l’expliquer. Nos psychologues s’accordent pour dire que la clé de ce phénomène réside dans nos projections infantiles. (Ne décrochez pas chers lecteurs … cela a du sens.) Bébés, les deux sexes s’identifient à la mère, le père étant vu comme un sombre intrus, mais arrive l’âge, pour ces jeunes pousses d’homme, où ressembler à Papa semble plus intéressant (ou pas remarque…) : Se raser, bricoler, être dans un fauteuil (oh !), jouer au foot et autres activités lourdement chargées en testostérone ! Et puis, faut pas se mentir, à l’heure du bain, vous ressemblez d’avantage à Papa qu’à Maman. Concrètement, se « re-travail » d’identification vous fait repartir à zéro et «perdre» du temps, alors que nous, charmantes demoiselles, continuons à faire des tartes avec Maman, à courir dans ses jupons et à jouer… à la Maman, justement !
Et oui ! De là vient cette frustration quand adolescent, les filles de votre âge étaient plus intéressées par vos grands frères.
Mais penchons nous maintenant sur les exceptions, sinon cela ne serait pas drôle ! N’avez-vous pas remarqué cette recrudescence des jeunes femmes attirées par les prés -pubères ? Je n’associe pas ce phénomène à notre époque, mais si je prends l’âge moyen de nos lectrices (24 ans), disons que maintenant nous pouvons nous le permettre. Plus de fraude en détournement de mineur, plus de sortie de lycée à faire, et une certaine légitimité à clairement ne plus être de leur monde en « jeune cadre dynamique ». Mais pourquoi cet engouement pour la vingtaine me direz vous? Chers lecteurs, pour l’avancée de la science, j’ai payé de ma personne afin de faire l’expérience, et pour obtenir des statistiques fiables, j’ai renouvelé l’opération…
Ce type d’histoire commence souvent par une généreuse hypocrisie et un franc mensonge : « Ah bon, tu as vingt ans ? ». Ah la vingtaine ! C’est bon, c’est frais et chargé de surprises ! Avouons le, cette conquête nous soulage d’un sacré poids : au lit, nous avons l’avantage concurrentiel ! Face à vos années d’expérience, les jeunettes qu’il a connu ne peuvent pas faire le poids !
Et c’est très drôle de voir à quel point ces jeunes hommes sont dociles et en attente de tout apprentissage ! Ils savent que cela va être différent et vous traitent d’emblée comme une femme. Les premières fois ils vous cacheront leur plaisir, restant stoïque au moment T (Orgueilleux ces jeunes !) Mais si vous réussissez à instaurer un climat de confiance, il se laissera aller et cela ne sera que meilleur. Et pourquoi pas d’ailleurs se laisser mener quelques minutes afin de retrouver ces fameux va et vient de vos 18 ans : Tac Tac et autres coups du lapin !
Revenons à cet engouement, hormis l’attirance pour ce jeune corps musclé, l’assurance de sa performance et peut être la domination sous jacente qu’implique votre différence d’âge, le gros avantage est que vous partez détendue, c’est forcément une histoire sans lendemain (ou très peu de lendemains…) Et ça, ce n’est pas rien !
Exit la pression, les comportements convenus et roulez jeunesse !
Ma conclusion serait donc, foncez les filles cela n’est que du bonus ! C’est bon et on ne s’en lasse pas ! Les garçons ne désespérez pas, après avoir reçu des SMS du type « Jador koman tambrace », être montée sur son scoot et avoir du faire face à cette phrase qui donne mal aux oreilles : « Tu veux casser ? », c’est dans vos bras messieurs les post pubères que nous revenons en courant !
C.J. – CC13 « La Jeunesse» – Juin 2008
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